Interprétation
La chanson 'Nie Verstehen' de
Pajel est un morceau de rap qui aborde la vie dans la rue, l'existence dans la scène du rap et la perte d'amis due au milieu de la drogue.
Le texte commence par une référence à la carrière musicale de Pajel et son retour ('Nous sommes de retour, désormais bien établis'). Il parle de ses compétences et de ses succès dans le rap ('Déchirer facilement, 385 le meilleur') et comment il s'est fait un nom dans la scène.
Il parle ensuite de sa relation avec la drogue ('Je suis amoureux du Coco, blanc, Jacky sans glace'), exprimant son intérêt et son affinité pour la cocaïne. Ce motif est repris dans le refrain ('Tout tourne autour des E'), où le 'E' pourrait se référer à l'ecstasy, une autre drogue. Le 'sac Louis rempli de Haze' est une autre référence à la drogue - Haze est une variété de marijuana.
Un thème central de la chanson est la perte d'amis qui ont sombré dans le monde de la drogue ('Beaucoup de frères qui nous manquent'). Cette ligne exprime à la fois la tristesse et l'incompréhension, et donne l'impression que ces pertes sont devenues une partie intégrante de la vie de Pajel et de son expérience dans la scène du rap.
Le texte aborde ensuite son passé, le défi du système scolaire ('Recherche de schémas déjà à l'époque, école primaire, troisième classe') et son identité en tant que combattant de rue ('sur les Mainzer Straßenfighter'). Il parle de ses débuts et de son évolution au fil des ans.
Plus tard, Pajel aborde le désir de certaines personnes d'être rappeur et pose la question de quelles histoires elles ont à raconter ('Tu veux être rappeur ? Quelle est ton histoire ?'). Il montre un certain mépris envers ceux qui veulent s'établir dans la scène du rap sans avoir une réelle expérience ou crédibilité.
Enfin, la chanson revient au refrain, où la répétition de la phrase 'Tu n'as jamais vu ça' souligne l'unicité et l'intensité des expériences de Pajel. Cette phrase exprime à la fois la fierté et la mélancolie et résume les thèmes centraux de la chanson : drogue, perte et la vie dure dans la rue.