☝️ Points clés
- Les paroles de la chanson abordent l'oubli des mères qui ont perdu leurs fils à la guerre.
- Il est souligné combien de souffrance les mères endurent et combien de fois elles ont dû mourir dans leur deuil.
- Les mères vivent la douleur de la perte de leurs fils chaque soir à nouveau.
- Malgré la mort et la violence, les fils ont trouvé la vie et l'ont offerte au peuple.
- Les paroles de la chanson expriment à la fois la tristesse et l'espoir.
Interprétation
Les paroles de la chanson 'Setzt ihr euren Helden Steine' de
Volkslieder parlent des mères qui ont perdu leurs fils pendant la guerre. Il s'agit de la façon dont les gens honorent souvent les héros et les combattants, mais oublient les mères qui ont perdu leurs enfants.
La première partie de la chanson dit que les gens érigent des monuments à leurs héros et leur rendent ainsi hommage. Mais en le faisant, ils oublient les mères qui, dans leur douleur, sont souvent mortes cent fois. Cela met en évidence la souffrance que les mères ont dû endurer et combien de fois elles ont dû mourir à nouveau dans leur douleur causée par la perte de leurs fils.
Dans la deuxième partie de la chanson, il est décrit que les fils ne trouvent la mort qu'une fois dans la guerre, mais que leurs mères la trouvent chaque nuit. Cela signifie que les fils peuvent mourir à la guerre, mais que leurs mères revivent chaque soir la douleur de la perte lorsqu'elles pensent à leurs enfants disparus.
La dernière partie de la chanson souligne que, malgré la mort et la violence, les fils ont trouvé la vie et l'ont offerte au peuple comme l'aurore. Cela exprime l'espoir que, malgré la souffrance et les pertes de la guerre, la vie continue et que les mères qui ont perdu leurs fils ne doivent pas être oubliées.
En résumé, les paroles de la chanson 'Setzt ihr euren Helden Steine' de 'Volkslieder' parlent des mères qui ont perdu leurs fils pendant la guerre et qui sont souvent oubliées. Elles expriment la douleur et la tristesse des mères qui ont perdu leurs fils, mais aussi l'espoir que la vie continue.